Te le souviens – tu, cet homme sans – abri à la veille de Noël, endormi sur le banc de la place dépeuplée ?
Te demandes – tu comment vivent ceux qui n’ont pas des manteaux dans les froids pénétrants?
Imagines – tu comment la vielle dame marche-t-elle sur les trottoirs glissants?
Vois – tu l’espoir que la femme enceinte nourrit, en faisant la queue pour recevoir du lait, des oeufs et des vitamines à bas prix des services municipaux ?
Tu n’es pour rien. Mais pour une fois, faisons une prière pour la douleur des inconnus.
2008/12/29
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